Dire la poésie est déjà une gageure. Mais lorsque cette poésie déroule comme vagues les élans fulgurants de ce qui, par essence, déborde, ne se contente pas et ne saurait être contenu , les mots par-dessus les mots deviennent carrément tarte à la crème. Je vais donc limiter les miens afin de ne pas trop donner dans la pâtisserie de supermarché. Seulement vous dire que j'ai littéralement reçu la marée par tous les pores à la lecture de ce dernier recueil de Szpilmann, par lequel je fais sa connaissance. Liminaire l'ombre ou la brèche d'embruns par laquelle or, lumière et...
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